Alors, devant l’entrée du Pavillon d’or, sans la connaître, je devine, et voici qu’elle me fait un signe de la main, puisque j’avais dans un sourire – “Ce sera plus simple” – envoyé ma photo. Alors tout près il y a ce bar, allure de cafétéria pour étudiant où l’on vend aussi des cravates, trop larges bien sûr, un jour je vous raconterai peut-être mon désarroi dû aux cravates dans ce pays. Alors j’apprends que les moines bouddhistes se marient, qu’il existe des flexitariens, et quoi d’autre encore ?
Alors plus tard, c’est autre chose, il fait nuit, ce sont des lieux de tournage et l’on boit du saké en échange des cartes de visite avec des communiquants déguisés en samouraïs. Ça alors !