Alors on reprit le rythme des samedis d’autrefois : cinéma. Le cinéma. Le grand. Le grand spectacle sur grand écran d’abord, une histoire de parasite en V.O. nippone sans sous-titres pour débroussailler les dialogues ; un grand n’importe quoi presque jubilatoire précédé de bandes annonces improbables. Et puis le grand cinéma par l’audace, sur petit écran. Marguerite, bien sûr. Marguerite, enfin. Alors parfois je pense à autre chose, je pense à ce qu’il faudra écrire, parce qu’eux, sur la plage de Trouville, m’entraînent de l’autre côté, et qu’à ce moment du roman il traverserait l’océan.
(Parler une prochaine fois d’Anne Frank au pays des mangas)