Ame ga futte mo, kimashita. J’ai préparé ma phrase, disant que je suis venu même s’il pleuvait. Mais malgré cela, j’ai regardé la pendule tourner, le travail à faire, la pluie tomber encore et suis parti plus tard, gardant en mémoire la formule pour une autre occasion météorologique, cherchant ce qui pourrait être offert quelques jours plus tard, regardant encore une fois ce pantalon, te retrouvant enfin pour un bain. Trop chaud peut-être, n’est-ce-pas ?