Regarder “Labyrinth of grass” de Shuji Terayama dans un lit, alors que le sommeil gagne un peu, m’entraîne dans un état entre l’éveil et le rêve durant une quarantaine de minutes. Au réveil, le vrai, le lendemain, vers 8h du matin, on ne sait pas comment raconter le film, cette histoire de chanson, de mère, on ne sait pas pourquoi ce garçon se retrouve recouvert d’idéogrammes, mais je me rappelle vaguement qu’à La Poste il y avait The Look of Love de Dusty Springfield.