Lundi 4 mai 2015

Sans prévenir, la ville s’est parée de rose azaléen. Ou bien étais-je trop attaché à regarder le vert qui avait éclaté depuis notre retour ? En tout cas, en face de la Villa, c’est abondance (de fleurs, de visiteurs). De quoi rejoindre l’idée de regard floral évoqué par Christine Buci-Glucksmann dans son livre “L’esthétique du temps au Japon“, livre qui aurait nécessité l’usage d’un surligneur afin de guider la lecture parfois souvent ardue, or vous conviendrez qu’il n’est pas d’usage de surligner les ouvrages empruntés dans/sur les bibliothèques. En tout cas, je ne retrouve pas la phrase en question.