Là-haut, là aussi, le paysage a changé : les fougères ont envahi la pente nue. On commence à ressentir l’été, la moiteur, et malgré cette brume éblouissante on regarde l’horizon et cherche encore nos toits.
Et le soir, le ciné-club entraîne des éclats de rire inattendus et rafraichissants pendant le Voyage à Tokyo d’Ozu. Un long voyage, non ?