Une heure de train, trois quarts d’heure de bus, et c’est l’île d’Awaji, le bord de mer, un air de vacances avec ces palmiers, ce bar, ce bâtiment rose là en face. Le café est léger, le chien rapidement silencieux, je pense à la Californie. Le trajet a été l’occasion de relire les pages du carnet rouge ; qu’en faire ?