C’est à l’aurore, ou plutôt un peu après, car l’aurore est si tôt qu’elle est presque invisible, que l’on se lève et qu’alors, le guide touristique posé sur la table, tu m’annonces où nous partons. La surprise s’estompe, remplacée par la joie d’aller à Ise – pour s’étonner encore – et au bord de la mer, la mer, la mer, enfin la mer !