On pourrait râler, en bon Français, sur le pressing qui ne lave pas, sur le jardinier qui arrache les plus jolies plantes, sur le poisson qu’on recrache. Mais la joie d’avoir su tenir une conversation en japonais pour réserver un restaurant efface tout le reste (même s’il faudra y retourner après avoir appris comment dire “changer l’horaire”). Et puis l’on notera ici, histoire d’étonner (peut-être) le lecteur, le paiement de la “sécu” à la supérette, qui résonne, quand on y réfléchit, à quelque chose d’un oxymore social.