Le bar est spacieux (donc pas très kyotoïte), agréable (donc très kyotoïte) et de l’autre coté de la vitrine, là, juste à côté de toi, il y a une part de gâteau immense en carton. A l’intérieur, on note surtout la tête de panda en peluche accrochée au mur, telle un trophée. A l’extérieur, je remarque surtout le garçon avec un tee-shirt “Cindy Lauper” qui montera dans le bus 203. C’est un samedi différent, lent, reposant, différent parce que pour une fois nous marchons sur ce pont, ensemble. Ça n’a l’air de rien, mais…
Il y a ensuite cette scène qu’on ne comprend pas, au restaurant, c’est comme un film met finalement, on lit sur les visages les expressions faute de comprendre les mots. Et puis l’expo (sur des artistes inspirés par le mouvement) Rimpa. Et puis un film muet, un vrai, La Cigogne de papier, Mizoguchi années 30 et Japon bien sombre…