Errer. Le verbe me convient. Habituellement ailleurs. Mais cette période de Noël m’entraîne plus que d’habitude et plus que de raison dans les boutiques, petits et grands magasins (藤井大丸 is my atarashii paradise), et jusque dans les cabines d’essayage, en vain malgré le bleu et le confort de ce blouson, en vain malgré la joliesse de cette chemise, en vain malgré l’insistance du vendeur (prononçant Henri Cartier-Bresson avec difficulté et adorant Mario Giacomelli) qui me permet néanmoins d’essayer d’improbables space-shoes de chez Y3. Et te voilà, alors on s’y entraîne mutuellement, puisque te voilà, entre obligation et hésitation, puisque me voilà, ne l’as-tu pas senti ?, entre hésitation et hésitation… Quoi ça ne te plait pas ça ? Et n’oublions pas de remettre la palme du vendeur du jour à la personne mega-gender de chez Vivianne W, même si je l’ai un peu obligé(e ?) à ranger la cabine avant d’essayer ce pantalon en velours rouge pas cher mais trop slim car je n’ai plus 25 ans (même si, en relisant ce qui précède, je me le demande…).