Tandis que la foule des touristes se rue sur les artères commerçantes et les temples conseillés par tous les guides et accessibles par quelques moyens de transport sur ou sous terre, nous retrouvons le Manshuin, havre de paix, après un autre lieu étrangement désert, la ほりかわクリニクoù le docteur Pascher s’était fait rassurant, comme s’il copiait la leçon Assimil n°46 sans avouer pour autant que c’était probablement dû à un simple excès de nourriture. 大丈夫です。
Et nous poursuivons, dans les montagnes, pour déjeuner grassement de nourriture “locale” puis pour lui montrer ce lieu que nous aimons, cette rivière bordée de bâtiments immenses qui abritent des tronc non moins immenses, ce lieu qui, les décennies passant, ne sera probablement qu’un fantôme.