Tokyo est une surprise permanente. Dans le carnet, j’écris « un tumulte architectonique », histoire de résumer cela en une formule et de me méprendre sur la définition de l’adjectif . Tumulte architectural, donc. Tumulte qui, soudain, par comparaison, transforme presque Kyoto en ennui. Bref, Tokyo est une surprise qui commence, en ce vendredi, par le musée Teien, pépite Art déco présentant, ce jour-là, une exposition Émile Gallé, qui pourrait éventuellement faire l’objet d’un petit billet sur un blog plus spécialisé et vaguement abandonné. La suite, alors que tu pars à tes rendez-vous, c’est, le répéterai-je jamais assez, le plaisir de marcher dans la ville, le tumulte, de Meguro à Shibuya, avec ensuite quelques destinations notées sur un plan : l’expo Simon Fujiwara — mais pourquoi nous oblige-t-on à regarder debout un film de 27 minutes ?… film que j’ai beaucoup aimé d’ailleurs —, l’expo Lina Bo Bardi — qui me permet de retrouver le souvenir coloré du temple protestant bâti par F, juste en face — et enfin le Mori où tu m’attends pour surtout admirer la vue – c’était quoi l’expo ?






