Avaler en vitesse un thé. Marcher jusque là-bas, hésitant sur le parcours, Y comme moi, parce l’orthogonalité kyotoïte nous trouble toujours un peu. Avaler un petit quelque chose, devant le théâtre, en souriant aux premiers bourgeons des cerisiers, là, sous le soleil. Entrer dans le théâtre, voir, repartir, ne rien vouloir en dire. Découvrir que ce nouveau BAL cache une terrasse puis une autre. Aller à la VK, s’esbaudir devant le low-high-tech et aimer les écouter parler photographie, aimer comment ils en parlent, ce qu’ils en disent, ce qu’il en dit, en chien errant.

