Puisque le festival se termine, je pédale d’une exposition à l’autre pour passer de jolies surprises à d’inévitables sentiments d’indifférence, en passant éventuellement par quelques agacements… Avec moi, au milieu du parcours, marchant plutôt que pédalant, ce jeune garçon qui se disait lui-même bizarre dans nos échanges via le réseau social bleu foncé. Il se révèle peut-être bizarre, mais assez touchant, dévoilant un stress maladif (pardon pour l’approximation scientifique) dans une allusion médicamenteuse et un certain flot de paroles…