Alors, soudain, la pluie s’arrête. Et le vent. Je pars, pour un court instant seulement, d’une part pour prendre l’air, d’autre part parce que les vases sont moribonds, le contenu du frigo imparfait, le tofu tentant, ton retour attendu. Alors il ne faut pas oublier de regarder le ciel, sur lequel on a tant maugréé jusqu’alors, mais dont le gris se dore.