Mercredi 12 octobre 2016

C’est dans l’un de ces pseudo cafés français, répondant au nom de “Délifrance”, qu’on les retrouve par hasard, après quelques sms n’ayant pas précisément défini le lieu de rendez-vous près de la gare. Ils reviennent de quelques coins du Japon, ici où là, et puis ils repartiront. Mais reviendront. Eux aussi. Parce que… parce que.

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