C’est au bout du parcours, là où, une fois précédente, j’avais hésité sur l’achat d’un objet en paille, ce type d’objet qui sert je crois à recueillir les mauvaises herbes que l’on arrache, oui c’est là que je les ai rencontrés. Ils venaient d’acheter des chevalets de koto, magnifiques, laqués, noirs et beiges mais ne savaient pas ce qu’ils allaient en faire.
C’est à la fin de mon parcours, là où l’on admire les pruniers qui commencent à fleurir, qu’il y avait un spectacle. Les gens riaient. Moi aussi, un peu. Jusqu’à ce que le singe montre son visage triste.