Samedi 4 mars 2017

Le tour est habituel, mais la compagnie ne l’est pas et le temps, printanier, non plus. Lors du déjeuner qui suit, R nous parle d’un lieu, magique, dit-elle. L’endroit a déjà évoqué par C, un jour de pluie durant une balade où j’étais peu attentif, et nous voilà y filant. Nous découvrons alors quelques rues agréables et donc, au milieu des bois de Yoshida, un havre de paix avec vue sur la ville baignée de lumière. Alors, dans un fauteuil aussi moelleux que le cheese-cake que je déguste par petites bouchées, Philippe Bonnin me parle des ombres perçues à travers les sudare.