Ainsi les paysages sont-ils inédits, comme autant de visages qu’on aimerait photographier dans une lumière qui fuit le jour. La destination l’est peut-être aussi. J’ai oublié ce détail de ma période qu’on dira nîmoise, et les archives de ce journal n’en propose pas de trace. Tout aura disparu : rien n’a peut-être voulu exister.