Alors, crier. Parce que l’idée même du fascisme ne peut que me faire hurler, ça part de là, à l’intérieur, au fond de moi, puisque c’est de là que je viens, c’est de là que je suis né, du hasard de l’histoire de ceux qui l’ont fui. Non pas qu’alors j’engueule celui qui voudrait bien parler, puisque quelque part c’est peut-être aussi un cri de peur.