Et c’est ainsi qu’un pluriel, que j’avais entendu 8 huit jours plus tôt mais qui semble-t-il n’avait jamais été prononcé, et que Z avait bel et bien dit mardi au téléphone et que l’on en avait ri, oui voici donc qu’un pluriel provoque un trouble, la gêne de M, son agacement, puis plus tard son déplacement vers le canapé, canapé dont la position n’est plus remise en cause contrairement à celle de la table et des chaises qui imposent leurs dimensions et leur instinct grégaire contrairement à nous, ce soir, en l’absence de J – shooté à l’analgésique de niveau 2 – et Z – shooté au train loupé – qui auraient sans nul doute mis l’ambiance comme ils savent le faire via leur voltage et leur joie, mais non, le bus est à minuit, tu veux rentrer ?
(…Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus.)