La voix est alors plus claire, soulagée ; je te le dis. Ici je tais ce que tu affrontes. Je pourrais l’aborder de mon point de vue, spectateur distancié, comment tu dis, ne dis pas, ce que j’entends, ce que je comprends pas, et comment on recouvre les maux par des silences-respirations ou des silences-nuages, c’est selon. Je pourrais dire combien tu dis tant.