“La météo est clémente”, écris-tu à 18h18. Alors nous voilà, et c’est avec toi que je retrouve les terrasses. Il y a ce sentiment étrange, on flotte. On a presque l’impression qu’on n’a pas le droit d’être là ; la semaine dernière les rues en étaient folles.
Alors on esquisse un regard, le serveur est joyeux, et nous donc d’avoir une table, là, petite rue tranquille loin du tumulte. On commande, et bien sûr tu blagues, un peu, en disant qu’on ne sait plus comment faire.