Je t’envoie ton portrait, enfin édité : recadré, légèrement éclairci. Derrière ton visage, il y a ces lignes de métal en façade du bâtiment dans lequel tu travailles, floutées, ouverture 1.8, le focus est sur tes yeux, ils brillent ; j’ai choisi de toi ce sourire éclatant ; juste avant, tu avais ri. Depuis, ta barbe est courte.
Les échanges qui suivent sont d’autres joies, nées d’une connivence tue, nées de l’idée d’autres images, nées de la frontière franchie : is this profesionnal ?