Je ne sais pas ce que tu quittes de moi en partant ainsi ; je ne sais pas exactement qui j’aurais été, sinon une présence régulière pour t’écouter rire, te lire un peu parfois, et puis te regarder, bien sûr, figé et magnifique, sans sourire, là, Ne bouge plus. Qui serai-je demain ?
Je ne sais pas encore ce que tu me laisses, sinon tant d’images de toi, et tant d’autres aujourd’hui, dans le soleil couchant ou dans la dureté de cette petite lumière frappant ces vêtements blancs.