Jeudi 30 décembre 2021

Je regarde, encore et encore, les images. Je comprends que j’ai tout de même produit, lors de mes séjours là-bas, quelques jolies images que j’avais pour certaines oubliées comme un jeune homme lisant au fond d’un bar en août 2011, les yeux d’un petit garçon dans un rolling sushi bar en juillet 2012, les brumes sur le Chuzenjikô en octobre 2014, des mains qui prient en avril 2015, une petite fille sage sur les bords de la Kamo en avril 2018. Ces exemples sont doux, je les mets de côté. A jamais ?