Ce n’est pas une surprise à 8h14 quand, fébrile, je parviens à lire les 38,1°C qui s’affichent sur le petit écran du thermomètre dont la petite sonnerie surexcitée vient de signaler que quelque chose cloche. Ce n’est pas plus une surprise quand l’auto-test laisse apparaître à 12h04 deux petites barres rouges au lieu d’une seule et donc fatalement, je suis déjà blasé quand le SMS de la pharmacie, où le pharmacien aura tout de même réussi à me faire rire malgré mon mal de tête et la déception d’avoir loupé le cours de photo, m’annonce à 15h18 que mon résultat est positif et me confirme que je vais retourner dans mon lit…