Jeudi 24 février 2022

Je suis mal assis, et c’est notre dernier soir, oui probablement notre dernier soir. Le 4 mars tu partiras, et d’ici là nous serons l’un et l’autre pressés par ce qui nous entoure. Bien sûr nous nous reverrons, subrepticement peut-être, si ce n’est pas avant ton départ ce sera un jeudi d’avril ou un dimanche d’été. Et puis quelques gouttes du ramen éclaboussent sur mon pull-over et mon nouveau pantalon au bleu printanier ; je m’en fiche.