Alors sur scène ça gigote et ça se peinturlure, sans comprendre pourquoi. Un peu plus tôt, un peu d’espoir : des mots. Finalement, c’est un peu comme le travail, il y a parfois quelque chose qui m’accroche mais trop souvent je gigote ou peinturlure. L’esprit est ailleurs, lutte. Bien sûr, comme sur scène, ça avance, parfois ça accélère, parfois ça va dans un coin, dans un autre : ça fait. Parfois ça s’arrête, comme si ça ne pouvait plus. Parfois ça s’entasse. Au début ça criait, puis ça a ri. Pareil.