Sans maquillage ni postiche, te voilà donc. Sur l’une des images de dimanche, j’avais manqué ton sourire et ton regard droit dans le mien, ou dans l’objectif, c’est tout comme. En revoyant la série, le soir, j’étais déçu, j’étais persuadé qu’ainsi, j’avais attrapé son visage et conservé cet instant. Ce soir, bien entendu, tu ne portes pas non plus cette robe qui, sur une autre photo, dévoile ton dos. Tu l’adores, dis-tu, cette photo.