Soudain ton visage apparaît. Tu es dans les images que je trie, encore, encore et ta beauté me frappe, c’est une gifle, que tu es beau là, là, ou là encore, grave, à la foi docile et sûr de toi devant l’objectif, innocent sans l’être, je crois que personne d’autre ne sait faire ça, faire cette gueule, avoir cette gueule.
Sur l’une d’elles le cadrage est beaucoup trop serré, c’est dommage c’est peut-être la plus belle de toute, il y a la présence de tes yeux, ils crèvent l’image ; tes cheveux sont ras.