Vendredi 30 septembre 2002

Je laisse derrière des semaines et des mois. Je souffle. Il est tard bientôt 21h, le train m’emmène vers Agen. Nous nous retrouverons comme jamais. Jamais, nous trois, 15 ans d’amitiés bientôt, ne nous sommes retrouvés ensemble ainsi chez F. Je ne sais pas exactement à quoi c’est dû, sinon aux rythmes, aux habitudes et aux silences.