Ils rient autour de moi, fortement, trop fortement, trop. Ils sont, je pense, des amis de l’acteur qui, sur scène, nous embarque dans un étonnant mélange de réflexion sur le temps, de performance physique, d’humour noir, d’audace, de souvenirs d’enfance et de chansons de Michel Berger. Sentiment désagréable de “devoir” rire, puisqu’eux, ils y vont, aux éclats, notamment ce type juste à ma gauche, hahaha, gorge déployée. Parfois il y a des silences. Parfois je ris, aussi.
En sortant, les JL me demandent : “Alors, ça t’a plu”. Bof. Le parasitage a été trop fort ; il faudra attendre, repenser, raconter aux amis, et rire à nouveau d’une France Gall qui se gratte.