Il n’y a plus les vaches, mais une terre raclée et le ronronnement d’un tracteur qui finit la besogne. Il n’y a plus les vaches. C’était annoncé, c’est fait. Il reste des images, le souvenir de leur truffe humide et de leur langue rapeuse qu’on évitait ; parfois ça passait tout près de l’appareil photo, les cornes aussi.