Je cherche les étincelles, je me dis qu’elles viendront. Je te regarde. Je t’inspecte. Tu es avec tes amis. Tu pétilles pourtant, tu éclates, éclabousses, un peu trop, beaucoup trop. Tu es un des deux personnages que tu étais samedi, celui qui a failli me faire dire non, mais il y avait cet autre en toi, mais il y avait cette situation, ce pourquoi pas, alors j’ai dit ça : Pourquoi pas. Soudain tu mets Goldfrapp. Je ne te dis pas que j’aime la musique que tu écoutes. Je sens que ça ne suffira pas. Je sens que je ne veux rien dire, que je veux attendre, être sûr. Je sens que c’est vain. Et puis, une fois éloignés, tu écris quelques phrases. Comment y répondre ?