C’était jusqu’alors un style aperçu ici ou là, des photos, des affiches, des dessins… toujours c’était élégant. Mon esprit volatile ne faisait pas toujours le rapprochement entre les unes et les autres, oubliait le nom de l’artiste malgré ses six syllabes sonnantes. C’était aussi, tout récemment, un visage aperçu ailleurs : c’est ainsi que tout cela est devenu 1. Par un compliment sur Instagram, j’ai alors fait un autre rapprochement.
Et nous voilà avec un bol de ramen au fond de chez Umami où les réseaux ne capte pas. Mais nos esprits, si.