Il est tard. Pourtant épuisé des heures passées, je ne dors pas. Toi non plus. Tu m’envoies une photo de l’oiseau que j’ai appelé Paul. “Comment on va l’appeler ?” tu m’avais demandé après que je te l’avais offert. Paul, j’avais dit, en faisant un geste de la main. Parce que c’est rond, comme lui, j’avais précisé et refaisant le mouvement comme caressant un galbe. On lui avait alors ajouté ses trois piles LR44 pour qu’il s’illumine. “J’aimerais lui dessiner des yeux. Sans cela, je ne pourrai pas lui parler.“, tu avais dit, aussi.