Je crois opportun de livrer au public quelques extraits du journal que j’ai tenu, ces derniers mois, au cours de mes expertises. Dépêché par une agence interspécifique, j’ai pu approcher certaines populations de grands végétaux pour développer le champ de nos droits et devoirs mutuels.
Les échanges effectués avec ces arbres ont été libres et approfondis. Les comptes rendus qui suivent me semblent susceptibles d’en témoigner éloquemment.
::: Jean Echenoz ; Baobab