Tram. Les mots dans le livre d’Annie Ernaux me ramènent ailleurs, à janvier, à mon absence dans une chambre d’hôpital avant la sienne immense. Alors je pleure ; peut-être qu’on me regarde.
Tram. Les mots dans le livre d’Annie Ernaux me ramènent ailleurs, à janvier, à mon absence dans une chambre d’hôpital avant la sienne immense. Alors je pleure ; peut-être qu’on me regarde.