C’est parfois furieux, l’envie d’écrire. Ça prend au détour de quelques phrases, en relisant des mots, des échanges, ça m’a pris en écrivant l’une d’elle sur ce journal et en en effaçant une autre, silence, ne pas dire, en voyant ce qui s’accumule. J’avais encore le goût du chocolat en bouche, plus tôt la pêche n’était pas assez mûre, c’est-à-dire trop ferme, goût discret, son parfum était trompeur.