“There are too many bicycles”, me dit-elle, mais je ne sais pas ce qui m’étonne le plus sur le campus : le nombre de deux roues, l’effervescence de la rentrée, une file d’attente exclusivement masculine ou la présence, là aussi, du rose pâle des cerisiers.
Les bords de la kamogawa, sous un chaleureux ciel bleu cette fois-ci, attirent les visiteurs et mon œil d’un rendez-vous à l’autre. Il y a même des pétales dans les pissotières, me dis-je en souriant de cette phrase sentant l’oxymore.