En ce moment, j’ai des Japonaises venues faire de la varape à Fontainebleau.
Partir.
Il y a les gens. Il y a les gens, les amis, les visages, on s’en éloigne mais on se verra bientôt ou dans un an, s’appellera, s’écrira, on se dit pour se rassurer que ce sera juste différent, surtout quand on se donne rendez-vous dans le même avion lundi ou à Paris dans 8, 15 ou 33 jours.
Il y a la maison, quittée aujourd’hui à reculons. Il y a cette maison dans laquelle je m’étais tellement senti chez moi, peut-être plus qu’ailleurs, plus que jamais. Avec elle, je n’ai plus rendez-vous.