Changer d’air sans en changer vraiment. Revenir à celui qu’on a respiré. Presque. Il suffisait de traverser la rue, de passer la place, se perdre un peu peut-être. Se retrouver alors au milieu de la mémoire du lieu et de sa fratrie de béton et d’espaces, mémoire architecturale alignée en dossiers comme autant de façades, à supposer que l’on puisse parler de façades entre les angles et les jardins.