La tablée est joyeuse ; chacun y découvre de nouveaux visages.
Lazy fucker, tu avais dit un peu plus tôt, à propos de toi-même, m’ayant laissé préparer le dîner. Ce serait peut-être dommage, de ne noter ici que ces mots, puisque tu as su aussi, de ce sourire que peut-être l’alcool avait aidé à apparaître, en trouver d’autres, et être autre, soudain, à la porte de la cuisine. “Calme-toi“, aussi, diras-tu, dans un français hypnotisant. Quoi encore ?
Tu me rappelles celui que j’ai été avec d’autres, dans ces moments nouveaux, hésitants et incertains, dans nos présences à la fois libres et imposées.