Nous parlons depuis un certain moment avec C. Je lui parle de mes projets, des quêtes, des idées, et de comment, peut-être, il pourrait trouver une piste. J’ai peut-être aussi besoin, à un quelqu’un qui vit des images, de parler de cela, de ce qu’il y aurait au-delà des miennes. L’homme entre alors dans la librairie. Son accent léger, ses yeux, une allure vestimentaire aussi, je devine qu’il est japonais. Il se pourrait qu’il soit très beau, sans ce masque. Je regarde au loin les 5 ouvrages qu’il apporte à C ; je suis au bon endroit : c’est ce même livre qui est juste là devant moi. Il se pourrait qu’il soit très beau.