Dimanche 1er novembre 2020

Laisser planer le rien, attendre le peut-être et le voir venir, et puis, à l’heure tardive d’un film, Taipei Story, être ébloui par celui-ci, sans savoir si c’est pour la grâce de certains plans, la douceur amère de cet amour qui s’étiole ou les mots qui se disent. Relire cette phrase, et savoir que c’est pour tout cela. Alors ici garder une image. Garder cette présence, moins éphémère que la tienne, peut-être.