Mardi 31 août 2021

Ça s’appellerait le Soupir des Vagues. Ce serait le film que je suis allé voir, même si devait il faisait beau, parce que c’était ainsi, décidé et prévu. J’aurais un peu dormi, par intermittence, durant les quinze ou vingt premières minutes du film, dans pour autant manquer ce qu’il ne fallait pas manquer, car tout s’est révélé dans les dernières minutes. Il y avait eu avant, tout ce qui porte un film, au-delà d’une intrigue et d’une moralité, et j’avais aimé ça : comment des amoureux n’arrivent à rien se dire.