Il se réjouit qu’il y ait plein d’événements, qu’on ait repris, même si dans la salle, de l’autre côté du couloir, le public est dispersé. Je le regarde. J’entends son point de vue mais je vois mon emploi du temps, mon rythme de travail, les heures qui ne suffisent pas. Elles glissent même, ces heures, jusqu’à la nuit, là-bas au bout des quais. Avec JLM on y va à pieds, ce n’était pas prévu mais c’est bien, c’est même peut-être salvateur, l’esprit en a besoin.