Alors J s’approche, entre dans le garage, et leur demande s’il acceptent d’être prise en photo. Le premier ne parle pas parfaitement français. L’autre, pas du tout. La demande, incongrue, entraîne le premier dans le piège du doute car il ne comprend pas pourquoi, ainsi, ce duo, veut le prendre en photo.
La situation me gêne. J’ai envie de partir. Je n’ai pas envie de vivre cette scène. Ils finissent par accepter. J prend la photo.
Un peu plus tôt, ç’avait été plus simple, c’est moi qui m’étais approché, j’avais demandé, j’avais expliqué, le jeune homme avait l’air cool et en effet il l’était, il emménageait là, avant il habitait tout près. Les mots avaient été simples, le contact aussi, j’avais aimé ça, mais pour la photo il y avait les voitures. Assume-les, j’avais dit à J.